Je ne cesserai jamais de le dire : tout commence par un rêve. Que vous soyez un étudiant cherchant sa voie ou un adulte en quête de sens, il est essentiel de savoir ce que vous voulez vraiment. Le rêve est la première étape vers l’accomplissement de soi, un point de départ indispensable pour toute personne désirant réaliser de grandes choses.
Pourquoi le rêve est-il si important ?
Tu te demandes peut-être pourquoi je mets autant l’accent sur l’importance de rêver. C’est simple : sans rêve, il n’y a pas de direction, pas de but à atteindre. Lorsque j’échange avec mes étudiants ou des personnes en formation, je constate souvent qu’ils ne savent pas ce qu’ils veulent faire de leur vie. Ils se laissent guider par les circonstances, les attentes des autres, ou encore par les aléas du marché du travail.
Je me souviens d’une conversation avec un de mes étudiants qui m’a demandé : “Madame, quel boulot sera disponible quand j’aurai fini mes études ?” C’est là que je lui ai répondu, et je te le dis à toi aussi : la seule vraie question à se poser est “Qu’est-ce que j’ai envie de faire ?” Qu’est-ce qui te fait vibrer, même si tu n’étais pas payé pour le faire ? Ce sont ces questions qui devraient guider ton parcours.
La peur des limites auto-imposées
L’une des raisons pour lesquelles si peu de personnes osent rêver est qu‘elles sont freinées par des limites qu’elles s’imposent elles-mêmes. Combien de fois as-tu pensé “Je n’ai pas assez d’argent“, “Je n’ai pas les compétences”, ou encore “Je ne connais pas les bonnes personnes” ? Ces pensées sont des obstacles que tu te crées, des barrières mentales qui t’empêchent d’avancer.
Mais laisse-moi te dire ceci : si tu n’as pas d’argent, travaille pour en gagner. Si tu n’as pas les compétences, forme-toi. Si tu ne connais pas les bonnes personnes, élargis ton réseau. Tout cela est à ta portée, à condition de le vouloir vraiment. Ce n’est pas le manque de temps ou de ressources qui te bloque, c’est le manque de priorité. Si tu fais du rêve une priorité, tout devient possible.
Rêve passif vs rêve actif
Il est important de faire la distinction entre deux types de rêves : le rêve passif et le rêve actif. Le rêve passif, ce sont ces pensées qui te traversent l’esprit sans que tu y prêtes vraiment attention, un peu comme lorsque tu te perds dans tes pensées en regardant par la fenêtre. Ce type de rêve est souvent subi, il ne mène nulle part.
En revanche, le rêve actif est une démarche volontaire. Tu choisis de te concentrer sur ce que tu désires vraiment, sur ce que tu veux atteindre. Imagine ce que tu veux, que ce soit une réussite professionnelle, un projet personnel, ou même un simple objet que tu souhaites posséder. Ce rêve devient alors une vision, un objectif concret pour lequel tu peux élaborer un plan d’action.
Faire du rêve une habitude quotidienne
Je crois profondément que chaque adulte devrait ménager, chaque jour, un moment pour rêver. C’est dans ces instants que naissent les grandes ambitions : devenir millionnaire, fonder une famille, ou épouser l’amour de sa vie. Ces rêves, même les plus fous, sont les prémices des accomplissements. Alors, ne laisse pas la routine, les peurs ou les doutes étouffer tes rêves. Fais-les grandir, nourris-les, et laisse-les te guider.
Tu vois, rêver n’est pas un luxe, c’est une nécessité. C’est le point de départ de tout succès. Alors, que tu sois en pleine réflexion sur ton avenir ou que tu cherches simplement à apporter un changement dans ta vie, commence par rêver. Ce simple acte peut transformer ta vie et t’emmener plus loin que tu ne l’as jamais imaginé.
Points clés à retenir :
- Rêver est la première étape vers la réalisation de soi.
- Les limites sont souvent auto-imposées et peuvent être dépassées.
- Distingue le rêve passif du rêve actif : choisis de rêver consciemment.
- Fais du rêve une priorité quotidienne pour atteindre tes objectifs.
Maintenant que tu sais par où commencer, il ne te reste plus qu’à te lancer. Ose rêver grand, et regarde où cela te mène ! N’hésite pas à écouter d’autres épisodes de mon podcast “Le Journal Intime du Succès”.
